Istanbul respirait lentement marqué par la température du Bosphore, ses collines chargées de silences antiques et de pas pressés. Dans un ateliers caché entre les colonnes d’un traditionnel caravansérail, une féminitude aveugle, nommée Elif, façonnait des mosaïques à l’aide de fragments de verre, d’os polis, et d’ivoire récupéré. Chaque pécule https://judahuzcei.bloggerbags.com/39379784/la-surface-et-l-ombre