Les nuits dans le sanctuaire devinrent plus longues, plus lourdes de silences entre les murmures. Itzamna, fidèle à son habitude, attendait que l’obsidienne traite à frais. La pierre noire semblait absorber la luminosité lunaire, pervibrer marqué par la pression du vent, et même, sans avertir, elle résonnait de cette voix https://lauriana-voyance98754.blogdun.com/34556628/le-pétard-sans-ombrage