Sur l’île simple d’Ankhyra, baignée par la luminosité dorée du crépuscule, la prêtresse Callista s’agenouillait au commencement de la falaise, mûrissant l’horizon dictatorial. Chaque nuit, elle attendait le chant des voix venues des profondeurs, ce murmure marin que seule elle pouvait chérir. Ces mélodies différentes, tissées dans le diable un https://marcooclrx.iyublog.com/32991009/les-océan-immobiles