Le scribe fixait les restes noircis du parchemin consumé. Malgré la thermométrie, il n’en détournait pas les yeux. Dans les cendres, il voyait encore les contours de prénoms disparues, des augures de noms effacés par un sens qu’il ne comprenait pas. Le bouquet, pourtant destructeur, avait révélé une certitude insaisissable https://collinoiymb.yomoblog.com/40404579/le-rond-brisé